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Mettre une terme à l'activité des chevaux de calèche dans la ville de Québec

Les chevaux tirant les calèches passent des journées, quelles que soient les conditions climatique, à effectuer leur travail dans l'unique but d'enrichir les sociétés les régissant. Fréquemment, nous entendons parler de chutes à cause de "glissades", entrainant de "légères blessures". Il est évident que ces "accidents" sont plus causés par la fatigue de l'animal que par un quelconque mauvais positionnement de la patte par l'animal.


Il est temps de mettre un terme à cette exploitation abusive. En plus d'être peu rentable, elle cause des problèmes de trafic entrainant un accroissement de l'émission de dioxyde de carbone par les voitures à l'arrêt et met en danger l'animal. La réglementation actuelle impose un maximum de 9h de travail par jour, par animal si la température n'excède pas les 32 degrés Celsius. C'est pour dire, plus que la plupart des Québecois. Les visites de Québec en calèches constituent un commerce essentiellement touristique. Comme nous l'ont prouvé nos confrères de New York, il existe plusieurs moyens de remplacer les calèche tels que les voitures anciennes électrique et les calèches électrique.


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